Femme noire,
Véritable gazelle des savanes,
Huile douce des noix ancestrales,
Coton naturel de nos contrées lointaines,
Tes perles étaient étoiles sur la nuit de ta peau,
Je ne te reconnais guère.
Savane brûlée,
Arbre déraciné,
Terre aride,
Hé bien, voilà avec tristesse
Ce qui te reste.
samedi 4 avril 2009
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
1 commentaire:
Superbe ! c'est de toi ce poème?
Yves
Enregistrer un commentaire